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Paye-t-on trop d'impôts en France ?

Publié le mardi 28 mars 2017

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Plus de 40 milliards d’euros entre 2011 et 2014 et 10 milliards en plus pour les entreprises... Les impôts continuent à étrangler les particuliers, surtout la classe moyenne.

Seuls les plus petits patrimoines bénéficiant d’aides étatiques sont préservés et continuent à ne pas participer à l’effort collectif.

Meurtri par la génération des baby-boomers qui n’ont pas pris soin de poursuivre le dynamisme des 30 glorieuses, la génération actuelle doit combler les trous creusés par ceux qui arrivent à la retraite.

Au-delà de ces considérations, le ras-le-bol provient du fait que, depuis 30 ans, la France perd son rang dans le classement des nations. Passée récemment derrière la Grande-Bretagne en terme de puissance économique, la hausse des impôts et taxes apparaît comme un placébo.

En terme d’efficacité, les résultats ne sont pas non plus là. Armée, éducation, insécurité, hôpitaux, police, justice... Quasiment tous les services publics ont moins de moyens.

Ceux qui contribuent le plus et qui font le moins de bruit n’ont pas l’impression d’être entendu ni de voir leurs impôts bien utilisés.

Parmi ces oubliés, on dénombre deux catégories : les indépendants et les jeunes.

Ces derniers, obligés de faire des études à rallonge, voient des aides publiques accordées à l’aide à l’emploi pour les jeunes issus de milieux défavorisés. Bien souvent, ce sont leurs parents ou eux-mêmes par des petits jobs voire emprunts qui ont réussi à les financer. Après cette période, le fait d’être fiscalisé lourdement est mal perçu.

Quant aux indépendants, l’addition est trop salée. Alors qu’ils prennent le risque d’échouer, ils devraient bénéficier de plus de souplesse mais ce n’est pas le cas.

Le problème provient-il du fait que l’on ne veut pas voir la qualité des services publics baisser ?

La réponse est non. Notre population est plus nombreuse qu’il y a 30 ans mais avec une très large population vieillissante. Le renouvellement des naissances se fait pour les familles les plus nombreuses, pour des foyers pratiquement non imposables.

Il est normal de vouloir maintenir et améliorer la qualité des services publics. Cela peut se faire lorsqu’il y a une population active et des postes à pourvoir. Aujourd’hui, ce n’est malheureusement plus le cas.

Comment alléger la pression fiscale ? En ne fiscalisant pratiquement pas pendant les premières années les jeunes salariés et les indépendants. En revanche, s’il faut prélever autant le faire sur les pensions retraites des futurs retraités.